Le café, élixir des journées productives

Nous nous souvenons tous de cette première tasse de café ; c'était horrible. Trop chaud, trop amer et trop sucré mais il offrait la promesse de la vigilance après une nuit de mauvais sommeil. Ce qui est merveilleux avec le café, c’est qu’il a toujours tenu sa promesse.

 

Partout dans le monde, mais surtout en France, les personnes actives ont l’habitude de boire au moins une tasse de café par jour. Caché dans cet élixir de soie noire et chaude se trouve une prévention contre la maladie de Parkinson. Environ 3 à 4 tasses de café par jour et les effets neuroprotecteurs s’activent, prévenant ainsi de la mort des neurones liés à la maladie de Parkinson. De plus, savourer un bon café durant les temps de pause permet à chacun d’être plus efficace, en stimulant le système nerveux et donc, la concentration. Il a aussi l’avantage d’améliorer les relations sociales et de désamorcer les conflits, contribuant alors à instaurer une certaine convivialité au travail.


Cela me rappelle les vers du romancier français Honoré de Balzac : "Ce café plonge dans l’estomac ... l’esprit est excité et les idées jaillissent comme les bataillons de la Grande Armée sur le champ de bataille ... Les souvenirs chargent au grand galop… la cavalerie légère des comparaisons se déploie à merveille, l'artillerie de la logique se précipite avec son train de munitions. " Ce breuvage n’est plus vu comme un moyen pour rester éveillé. Il s’agit aussi d'un plaisir qui permet de se déstresser et de booster la productivité personnelle après de longues heures de travail. 


Qu’en est-il des symptômes qu’on peut ressentir après avoir bu un café ? En voici une poignée :


Des battements de coeur plus rapides.

Une tension artérielle augmentée.

Le foie libère du sucre dans le sang pour plus d’énergie.

Les muscles se resserrent, prêts à l'action.


Comme l’ont montré de nombreuses études, consommé avec modération, le café pourrait aussi réduire les risques de développer certaines maladies, comme le cancer du côlon, la cirrhose, ou encore la maladie d’Alzheimer. Il est également préconisé contre les calculs biliaires, l’asthme, et les maux de tête. Rendez-vous dans notre boutique et découvrez nos cafetières portables, pour ne plus rater l'occasion d'apprécier un délicieux café où que vous soyez. 



Petit zoom scientifique pour les puristes :

 

 Un récent rapport publié par un groupe de scientifiques de Rome dans Molecular Nutrition and Food Research a exploré la possibilité pour nos cellules nerveuses, que la caféine soit semblable à l’adénosine. Ce dernier est un neurotransmetteur responsable de la somnolence, en ralentissant l’activité des cellules nerveuses. La caféine se lie donc aux récepteurs de l’adénosine, et, au lieu de ralentir, en raison de l'effet de l'adénosine, l'activité de nos cellules nerveuses accélèrent. En réaction à cette activité nerveuse, l’hypophyse libère des hormones qui induisent la production d'adrénaline -épinéphrine- aussi appelé "hormone du combat ou fuite» par les glandes surrénales.

 L’adénosine n’est pas le seul neurotransmetteur affecté par la caféine. En effet, la cause de l’addiction au café proviendrait de la dopamine qui n’est pas réabsorbée, après libération par l’hypothalamus. Cette dopamine produit l'euphorie et les sentiments agréables que les gens associent souvent à leur première tasse de café le matin.




 

Lire aussi : 

https://www.hlpdeveloppement.fr/le-cafe-au-travail-un-levier-de-motivation/

https://www.maxisciences.com/cafe/quel-effet-la-cafeine-a-t-elle-sur-le-cerveau_art33391.html

 

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